Cette page est une vision de nos origines, nous sommes les mutants d'une civilisation disparue qui a vu venir sa fin et s'est préparée. Pas d'extra-terrestres là dedans, que de la mécanique.
La dernière période glaciaire (Dryas récent -13000 ans) a favorisé la concentration de l'eau aux pôles qui sont moins réchauffés par le soleil. La vie s'est naturellement déplacé vers l'équateur et dans le fond des actuels océans pour y trouver un peu d'eau, c'est pourquoi on y retrouve des vestiges archéologiques. La croûte terrestre étant très fine (60km max pour un rayon de 6400km, soit 1%) le modèle mécanique de notre planète est une boule de liquide recouverte d'une fine peau solide. Les grosses calottes glaciaires n'avaient aucune raison d'être centrées, et on le constate encore aujourd'hui. L'équilibrage statique (et probablement dynamique vu la répartition des masses) a donc provoqué un balourd qui a fini par déchirer la croûte terrestre très fine. La force centrifuge à déporté le pôle de glace qui s'est retrouvé en contact avec la lave sous la croûte terrestre. Cette glace a fondu, et a provoqué le cataclysme planétaire baptisé Déluge par toutes les religions du monde. La fonte de la glace a provoqué une montée des eaux correspondant à l'état actuel, la vaporisation a également modifié la répartition des masses et provoqué les pluies diluviennes qui ont creusé les gorges et les canyons. Cela a modifié l'axe mécanique de la terre et c'est pourquoi on retrouve ces vestiges sur le fameux "équateur penché".
(Pour lire le paragraphe suivant il faut des notions de mécanique, modes propres de vibrations, noeuds, ventres, etc.)
La civilisation qui nous a précédé a été mise au défit par cette catastrophe prévisible qui s'est probablement produite plusieurs fois. Cette civilisation a produit des trésors pour permettre aux mutants qui survivraient de repartir, la Machine d'Anticythère n'a pas d'autre explication. Les constructions mégalithiques et anti-sismiques dans lesquelles on retrouve le mètre étalon alimentent ce faisceau de présomptions. Je pense que ces constructions ont eu une fonction mécanique de stabilisation de la croûte terrestre. La terre étant une boule liquide, le déchirement d'un pôle doit provoquer des ondes de surfaces, et il est possible de les limiter par ce genre de "masselottes". Accessoirement ces points de stabilité sont des refuges autour desquels les volontaires pour le stage de survie ont pu se rassembler. Cela explique pourquoi certains sites sont en altitude. Pour cela il faut disposer les masses sur des ventres de vibrations, qui ont du être calculés par nos ancêtres en fonction de la configuration initiale. Cela suppose une modélisation précise de l'état antérieur, des mathématiques (algèbre linéaire), une application aux calculs par éléments finis, et enfin des ordinateurs pour faire les calculs matriciels. Pour prendre une image simple, une roue de voiture non équilibrée fait un bruit inquiétant quand la vitesse de rotation augmente, et elle peut être réduite pas le positionnement d'une masselotte clipsée sur la jante au bon angle. L'équilibrage dynamique prend en compte la répartition des masses et requiert plus de technique que le simple équilibrage statique (positionnement d'une masse pour rendre indifférente à la gravite la position de la roue sur un axe horizontal). Même avec une bonne modélisation il n'était pas facile de prévoir quand la rupture se produirait, et à quel endroit se provoquerait la déchirure, laquelle a aussi pu être provoquée ou facilitée pour mieux gérer les contre mesures.
D'autres hypothèses peuvent être proposées, on parle souvent d'une rencontre avec un corps céleste (visiter le site de Rochechouard est une révélation). On peut aussi évoquer le "pole reversal" qui est une réalité mesurable par les géologues avec un cycle estimé à 26000 ans, et la conjecture "planète-X" qui est peut-être liée. Cependant ces phénomènes sont très difficiles à prévoir, et ne collent pas avec l'héritage laissé par notre civilisation engloutie, héritage qui a d'ailleurs un côté inachevé (Ile de Pâques). Le phénomène cyclique d'inversion des pôles suppose une durée d'observation très longue (plusieurs fois 26000 ans) donc une précision faible. De même la rencontre avec un corps céleste est presque imprévisible vu les vitesses (plusieurs dizaines de km/s) et la taille de l'objet (1 km). Il est presque impossible de prévoir la rencontre en dehors des objets tournants autour du soleil avec une orbite voisine de la terre que l'on voit passer plusieurs fois et que l'on a le temps de voir se rapprocher par étape. Le déchirement des calottes polaires me semble la catastrophe la plus simple qu'on puisse prévoir avec déterminisme.
La question se posera plus tard des héritiers qui ont séquestré cette connaissance à leur avantage, et des actuels tenanciers qui continuent de mentir sur ce sujet, avec à leur service les "hommes en noir" de Jacques Bergier. Je parie que les caves du Vatican et du Smithsonian Institute en détiennent une partie. Le Smithsonian Institute qui a renié sa propre publication sur les découvertes dans le Grand Canyon et qui pourtant en expose les statuettes "égyptiennes" dans son musée de New York. Graham Hancock parle de cet héritage (legacy).
Le calendrier nous assène des dates en millions d'années, et c'est le plus souvent associé à la culpabilité de consommer des énergies fossiles prétenduement fabriquées par mère nature avec parcimonie. Les dates reposent sur des extrapolations difficiles à vérifier par soi-même et des concommitences supposées d'objets retrouvés ensembles. La datation en soi repose sur des procédés scientifiques comme la décroissance du carbone 14, mais comment valider le résultat ? Ce carbone 14 issus de l'azote de la haute atmosphère a-t-il toujours été produit dans les mêmes proportions, comment se passe véritablement la décroissance ? Comme toutes les vérités scientifiques, elles ne sont vraies que tant qu'on ne se rend compte de rien. La radioactivité naturelle omniprésente permet aussi des transmutations, quel résultat cela donne-t-il avec ces soit-disant millions d'années de patience ?
L'histoire récente nous apprend officiellement que nous sommes passé de la bête sauvage vêtue de peaux de bête à la vie éternelle transhumaniste en quelques milliers d'années. Homo Sapiens aurait donc vécu babacool pendant 300 000 ans, et soudain avec l'impulsion des religions de paix et d'amour il serait devenu un génie à l'égal de ses dieux créateurs. Je ne cautionne pas cette thèse de l'évolution, et encore moins la théorie du franc-maçon Darwin, mais on peut se demander d'où vient ce génie humain qui prétend défier l'Univers en même pas 2000 ans en partant de rien. Cette fâble est incroyable.
On pourra lire Jürgen Spanuth qui parle de l'Atlantide passée à cette occasion du large des colonnes d'Hercules au Danemark : cela a du secouer fort pendant le Déluge. Héritiers de cette civilisation avancée, les Vikings appelés aussi Normands ont envahi et dominé toutes les monarchies d'Europe. Les détracteurs se contenteront de traiter l'auteur de nazi (le Reich a en effet lancé de nombreuses missions scientifiques dans le monde entier, comme Napoléon en Egypte) mais cela ne prouve pas que ce qu'il dit est faux.
Sur le plan génétique, on pourra aussi remarquer le peu de variance génétique humaine comparée aux chiens (lesquels ont probablement mieux survécu au Déluge). Cela prouve que notre population a été décimiée (euphémisme) et que plusieurs humanités ont repris vie chacune de son côté avec un début de spéciation. Nous sommes passés pas loin de l'extinction, et nos facultés mentales ont probablement beaucoup souffert. Si on ajoute à cela que les "héritiers" ont eu entre les mains des technologies qui les dépassent, cela peut expliquer l'état du monde actuel.
L'uranium d'Oklo au Gabon baptisé tardivement "réacteur naturel" par Wikipedia pose aussi la question d'une exploitation de ce type d'énergie bien avant nous.
L'épistémologie apporte des questions troublantes sur la chronologie des découvertes scientifiques. Par exemple le mètre existe bien avant sa découverte, et sa définition est régulièrement modifiée de manière totalement injustifiée, la dernière fois en 2019. Le mètre vient avec la terreur et la guillotine, donc sans grande contestation populaire bien qu'il touche aux poids et mesures. Il est ensuite promu par Napoléon qui va saccager l'Egypte pour y trouver de la documentation sur nos origines. Une grande partie des savants embarqués en Egypte ne revient pas vivant, mais le mètre lui est amélioré. Les découvertes miraculeuses sont également mises en avant là où on pourrait y voir un anachronisme. On trouve aussi des découvertes scientifiques qui sont inspirées (Egypte, Grèce, Democrite, Einstein), et partiellement révélées et/ou étouffées (Tesla, De Broglie, Renée Louis Vallée). On peut lire les écrits de Jacques Bergier sur le moyen-âge, et ceux de Jean-Pierre Petit sur les Ummites pour trouver surprenantes ces révélations venues d'ailleurs (mais pas du tout extraterrestres).
Je me souviens d'un devoir de physique où il fallait calculer l'avance du périhélie de Mercure quand cette planète passe dans l'alignement du soleil. Le résultat trouvé validait la relativité, mais si on tenait compte de la déviation des rayons du soleil, on sortait de l'intervalle de validité. Pourtant la religion de la relativité n'a jamais été remise en cause (sinon par Renée Louis Vallée).
Certaines recherches sont interdites, par exemple sur la fusion froide, les transutations biologiques, l'effet Dumas. Inversement les fausses théories sur l'énergie libre sont répandues avec des grands moyens. Il s'agit de damage control. Pourquoi fabriquer autant de fausses pistes ? pourquoi les institutions sont-elles hostiles aux recherches sérieures ? Ces mêmes institutions cautionnent toutes l'insoutenable théorie du big bang qui ne tient pas debout avec des arguments du niveau bac.
Il faut que je retrouve les informations sur cette rubrique, j'écris de mémoire, et mes données ont besoin d'un gros rangement ;-)